L’éventualité que le Royaume Uni quitte l’UE soulève des questions inédites. Celles-ci sont esquissées dans un document officiel du gouvernement britannique. Une publication de l’Union Syndicale Bruxelles (Brexit … and you, FR / EN) explore les conséquences possibles d’un Brexit pour les membres du personnel et les pensionnés des institutions européennes.
EPSU CJ, le syndicat représentatif du personnel de la Cour de justice, contribue au pot commun de l’action de syndicats de toutes les institutions (+ associations des anciens).
Avec comme seules ressources les cotisations de ses membres (18 563,88 €), EPSU-CJ a dépensé, en 2015, 15 563,68 €. L’action juridique représente la plus grande dépense. EPSU-CJ verse désormais sa contribution au budget de l’USF.
La Plateforme Stop TTIP Luxembourg, dont l’Union Syndicale Fédérale fait partie, a protesté contre l’opacité qui entoure la négociation des accords transatlantiques (lire Communiqué en FR).
Le parcours solitaire d’EPSU-CJ a pris fin. Aux atouts de sa profonde connaissance de l’institution et du cadre interinstitutionnel, s’ajoute l’avantage de sa pleine intégration dans la famille USF.
Par une succession de décisions, juridictionnelles et réglementaires, les fonctionnaires, agents et retraités de l’UE ont eux aussi fait les frais de la politique d’austérité dominante au sein de l’Union.
L’actualisation annuelle des rémunérations et pensions est désormais décidée par seule la Commission. À compter du 1er juillet 2015, les rémunérations des fonctionnaires et agents temporaires et celles des agents contractuels ont augmenté de 2,4%.
Conçu par EPSU CJ et appliqué uniquement à la Cour de justice, le mécanisme du pro rata temporis s’appliquera dorénavant à tous les fonctionnaires jusqu’aux grades AST 8 et AD 11, indépendamment de leur date de recrutement (voir les conclusions de la concertation entre l’administration de la Cour et EPSU CJ).
Les règles qui concernent les agents contractuels sont, par leur nature, complexes. En fait, la distinction entre les deux types de contrat d’AC, 3bis et 3ter, est fondamentale : Le premier donne accès à un contrat à durée indéterminée (CDI), le second pas.
Il est temps d’écarter définitivement une organisation du travail obsolète dont les effets délétères ont été amplement démontrés.